Adema arriva enfin après deux longues journées à destination.Elle descendit de son cheval et prit sa sacoche.L'air frai du matin la mettait de bonne humeur.Elle sentait que ce sera une belle journée.Elle déroula sa carte imposante de la ville puis admira le paysage qui s'offrait à elle.Il y avait des arbres à perte de vue,les maisons paraissaient rustiques mais solides.elle prit le temps de s'asseoir sur le rebord d'une fontaine pour pouvoir rechercher le lieu souhaité.Sur la carte-qu'un ancien historien lui avait prêté-elle remarqua qu'elle n'était plus à jour,surtout lorsqu'elle avait demandé à un passant où se trouvaient certains endroits (maintenant disparus),elle comprend mieux à présent pourquoi on l'a regardait bizarrement: la carte datait de plus de deux cent ans!Quelques heures plus tard,elle finit enfin par trouver la mairie.Elle ne pensait pas qu'elle était aussi...Grande!Adema frappa à la porte et avant qu'elle n'eu pu frapper une seconde fois,la porte s'ouvrit toute seule.Elle traversa avec angoisse le long couloir sinistre.N'ayant aucune indication sur la pièce,elle ouvrit une première porte...Pas de chance, il s'agissait d'un placard à balais.Une seconde porte...AAAHH!Pardon!pardon!...Au moins elle savait où se trouvaient les archives de la ville.Cette fois c'est la bonne...Eurêka!Elle avait trouvé le bureau du maire.Hélas,il était fermé.Elle attendit quelques minutes que quelqu'un lui ouvre et un homme à la silhouette imposante vint lui ouvrir.En voyant son ruban,il ne pouvait s'agir que du maire...

Adema,confuse,prit la plume et et la trempa délicatement dans l'encre(il n'était pas question de refaire une gaffe).
- Merci...Alors,voyons voir...*écrit*.Je m'appelle Adema Physalis...Je suis une Oparia....Je souhaite m'installer ici pour en apprendre d'avantage sur les sortilèges,dans l'espoir de trouver un remède au mal qui plane sur mon village...
Elle réfléchie ensuite à la proposition du maire...
-...Je souhaiterais également rejoindre cet université si possible.
Elle lui rendit les papiers,remplis.Attendit sur la chaise grinçante que le maire s'occupe de la paperasse.Elle sortit un yoyo de sa poche et commença à le balancer dans tous les sens...Le yoyo frôla l'encrier mais comme Adema pouvait avoir quelques fois des réflexes,elle évita de refaire une seconde gaffe en renversant l'encre sur les dossiers.Elle vit le maire sortir par une autre porte qui donnait sur un autre bureau tout aussi lugubre.En attendant qu'il revienne,elle en profita pour feuilleter les livres anciens qui se trouvaient dans la vitrine ainsi que de jouer à un bilboquet traînant au pied du bureau. Après une demie heure,toujours personne.Mais qu'est-ce qu'il pouvait bien faire?Ne tenant plus en place,elle se leva de sa chaise et franchit la fameuse porte où le maire avait disparu.La secrétaire me repéra et me fit signe qu'il ne devrait pas tarder à arriver.Aller,un peu de patience,c'est pour la bonne cause.Celui-ci revint quelques minutes plus tard.
(J'ai édité mon post)